par Jean Yves DELOS » sam. 4 sept. 2010 17:18
en manche, quel plaisir d'avoir un dériveur, pour le rase-cailloux c'est super et pour échouer n'importe où sur le sable ...
Je peux partir avec de l'eau sous les genoux, pour le transport et mise à l'eau, c'est simple et économique.
J'ai réparé une fois la dérive, mais le mécanisme est simple et robuste.En 30 années: un écrou de vis usé et un oeil de relevage à refaire...
Le dériveur passe partout, il est plus adapté aux balades à la journée. mais les amis quillards ont toutes les bonnes raison d'essayer de nous suivre!
Le first 18 est une valeur sure dans toutes ses versions !